NADIR grandit au fil des questionnements économiques, éthiques et sociaux de ses habitant·es paysan·nes. Ainsi ont ils choisi un modèle de ferme sur petite surface, qui suit les principes d’agroforesterie, d’agroécologie et de maraîchage sol-vivant. Dans cette logique, ils n’utilisent pas d’énergie fossile. L’intégralité du travail est effectué à la main et par des outils mécaniques ou électriques adaptés à nos jardins. Ils travaillent à leur autonomie en eau et en électricité. Ils réalisent tous leurs semis eux-mêmes. Ils vendent uniquement ce qu’ils produisent et transforment, à quelques exceptions près. Ils essayent de développer une forme de ferme autonome et autogérée. Un challenge fou, qui consiste à cultiver et sensibiliser les consommateurs toute l’année sur une alimentation locale et souveraine.